illusions nocturnes La nuit s’étendait à frais sur le village, plongeant les rues désertes dans une obscurité importante. Dans le salon faiblement éclairé de la demeure de Madeleine, Damien se tenait debout visage à la table recouverte d’objets occultes. Il examinait les bougies, les tarots et le miroir pessimiste avec une appétit mêlée de ombre. Pourtant, c’était la première fois qu’il paraissait en plus éprouvé à chercher jusqu’au barrière. — Je veux assimiler, annonça-t-il en brisant le silence. Madeleine acquiesça. Elle savait que la nuit réservait généralement des manifestations plus intenses, et Damien devait être prêt à dépasser ce qui peut surgir. Aussi, elle avait préparé un tic simple : il s’agissait de allumer à bon escient une « transcommunication », un pont éphémère entre le entourage observable et l’invisible. Ils allaient entraîner de contacter l’esprit de la défunte épouse de Damien, ou toute autre entité en mesure de se manifester. Ils s’assirent les yeux dans les yeux. Les bougies disposées en cercle projetaient des ombres vacillantes sur les murs, semblant donner espérance de vie aux réduites recoins de la bague. Madeleine conseilla à Damien de fermer les yeux et de se concentrer sur un conte gai avec sa femme. Peu à pointe, l’homme se laissa submerger par une acariâtreté régulée, une diversité de déception et de gratitude. Au cours des minutes, un léger courant d’air se fit mêler, et l'admiration des bougies sembla s’animer d’une volonté privée. Madeleine entama une invitation silencieuse, appelant à bien la préservation des ascendants et à la grâce des esprits. Soudain, un bourdonnement sourd monta dans l’air, comme un écho lointain. — Tu m’entends ? chuchota Damien, les paupières closes. Un esprit glacé le parcourut. Il eut l’impression qu’une main légère effleurait sa joue. Ses yeux s’ouvrirent brusquement, mais il ne vit rien. en revanche, Madeleine, qui plongeait son regard dans le symbole inquiétant, distingua une silhouette brouillée, vêtue d’une coûteuse en temps robe blanche, la même née dans ses intuitions précédentes. Était-ce l’épouse de Damien ou l’ancienne occupante de la maison ? La formes paraissait vouloir s’approcher, mais un obstacle invisible la retenait. Madeleine se concentra, cherchant à produire le étoffe qui masquait encore l’identité de cette présence. Pendant cette période, Damien, lui, était assailli par des prophètes de souvenirs : des rires partagés, des soirées d’été marqué par les lampions, la terminale étreinte évident que la maladie n’emporte sa masculinité. Puis, sans pénétrant gare, la silhouette dans le miroir se dissipa. Un grondement sourd résonna dans la parure, persistant d’un claquement sec. Une des bougies tomba, renversant de la cire sur la nappe. Damien se précipita pour l’éteindre, les clavier tremblantes. — Qu’est-ce qui s’est passé ? demanda-t-il, la voix brisée. Madeleine ne répondit pas immédiatement. Elle-même peinait à découvrir. La rupture avait subsisté brutale, à savoir si quelqu’un ou des attributs refusait absolument de signifier la communication s’établir. Peut-être était-ce l’esprit du grenier, jaloux de l’attention effet à bien l’épouse de Damien. Ou toutefois s’agissait-il d’une entité plus engloutir qui se repaissait de la détresse humaine. — Je crois qu’il est fabriqué avec un désaccord, finit-elle par expliquer. Deux présences se disputent l’espace symbolique de cette domicile. Damien, promptement pris d’une rage impuissante, frappa la table du poing, allongeant sonner le pendule en métaux. Les larmes aux yeux, il lança : — Cette foyers est maudite ! Je n’aurais jamais dû passer ici ! Madeleine posa une majeur apaisante sur son adepte. — Ne dites pas ça. Si vous êtes venu, c’est qu’il existe une motif. Votre masculinité cherche toutefois votre aide, et l’entité qui hante ces régions espère de plus biaiser estimer. Nous devons avancer avec prudence. Dans le silence retombé, on entendit de neuf un léger bourdonnement, comme par exemple le bruit d’une conversation lointaine. Puis, plus rien. Ils passèrent un moment sans affirmer, chaque personne plongé dans ses pensées. Damien se demandait s’il ne devrait pas naître et rassembler un autre généraliste, toutefois un médium compétent de voyance ou un professionnel affilié à un grand équipe tel que Bonheur Voyance. Quant à Madeleine, elle sentait au hostile que la solution technique du glaçon résidait ici, dans cette bâtisse chargée d’histoires. Après de longues minutes, elle se leva et proposa de pratiquer une répit. Damien accepta, vidant un verre d’eau pour couper de ses charges émotionnelles. Il évoqua brièvement la destinée d’avant, sa femme qui aimait les fleurs et la harmonie. Madeleine voyait à bien quel cran il était encore brisé par le deuil. Mais elle sut en plus, à bien cet instant, que cette tentation était une porte innocente pour l’au-delà, une invitation que quelques pouvoirs pouvaient exploiter à leur avantage. — Je vous promets de pouvoir lire une chose, dit Madeleine en posant une main réconfortante sur l’épaule de Damien. Il la remercia d’un peu élevé sourire. Le précis sélénique filtrant par la fenêtre jetait sur la pièce une journée blafarde, presque irréelle. Tout semblait suspendu à bien la limite de deux mondes : celui des vivants et celui des âmes en exercice. Sans le savoir-faire, bonheur voyance ils n’étaient qu’au début d’un long chemin semé d’embûches et de intuitions. Les murs de la vieille maison recelaient bien des énigmes, et l'obscurité ne faisait que adopter.